PREAMBULE
En tant que Praticien en Hypnose & Thérapie psychocorporelle, et Sophrologue certifié par l’Etat, membre de la S.F.S. (Société Française de Sophrologie), je suis tenu d’exercer dans le respect des lois et des règlements régissant ma profession, dans le respect de l’intégrité et de la dignité des personnes en traitement et dans le respect du code de déontologie ci-dessous :
I) CHAMPS D’APPLICATION
Le présent code m’engage pleinement, en tant qu’adhérent à la Société Française de Sophrologie.
II) PRATIQUE DE LA SOPHROLOGIE
La
sophrologie est une discipline du domaine des sciences humaines. Elle implique
la mise en œuvre de moyens qui tendent vers l’autonomie et le mieux-être des
patients/consultants/élèves dans le respect des croyances de chacun
(religieuses, politiques, philosophiques).
Cette préoccupation s’applique également au sophrologue s’exprimant en public :
III) COMPETENCE PROFESSIONNELLE
Le Sophrologue doit exercer avec compétence et dans le respect des règles éthiques.
IV) SECRET PROFESSIONNEL
Les sophrologues sont soumis au secret professionnel absolu concernant tout ce qui leur est confié dans l’exercice de leur profession. Ce secret s’applique dans les limites des lois et règlements (notamment quand des mineurs sont concernés).
V) OBLIGATIONS DU PRATICIEN EN SOPHROLOGIE
Tout praticien doit informer les patients/consultants/élèves de :
Ces informations doivent être exactes et objectives.
En outre, ceux qui exercent en tant que « sophro-thérapeute » doivent
justifier d’une formation en thérapie, psychothérapie ou psychanalyse, ou d’un
titre de psychologue clinicien ou de psychiatre, de la maîtrise des techniques
de la sophrologie, d’une supervision et d’un contrôle de cas.
RECOURS
Toute
infraction à une règle déontologique peut faire l’objet d’un recours devant la
Société Française de Sophrologie, qui réunit une commission en vue de se
prononcer sur le litige évoqué.
En cas de non-respect des règles déontologiques, des sanctions peuvent êtres
envisagées à l’égard du sophrologue défaillant pouvant aller jusqu’à
l’exclusion de la S.F.S.
Le plaignant doit être informé de ses possibilités de recours judiciaires.